L’Impact reçoit Porto Rico à Québec

Pas moins de 7200 billets avaient déjà été vendus en début de semaine. L’an dernier, la rencontre à Québec avait attiré 8623 spectateurs, un record pour un match de l’Impact disputé dans la Vieille Capitale.

«On a hâte de rencontrer les partisans de Québec, a déclaré l’entraîneur-chef Nick DeSantis avant le départ de l’équipe. C’est toujours plaisant de rencontrer les amateurs de soccer à l’extérieur de Montréal. Ça prend souvent des allures de fête et c’est très apprécié des joueurs.

«En fait, c’est devenu un peu une tradition au sein de l’équipe. Même que plusieurs de nos joueurs étrangers en profitent pour demeurer quelques jours de plus et découvrir la ville.»

L’Impact n’a jamais subi la défaite à Québec, ayant récolté deux victoires et une nulle sans céder un seul but.

Les visiteurs cette année, les Islanders, en sont à leur première année dans la A-League. Le onze montréalais s’était imposé 2-0 à Porto Rico le 25 avril dernier, puis 1-0 le 4 août à Montréal. Dans cette rencontre où Fred Commodore avait enfilé le seul but de la soirée, la troupe de DeSantis avait dominé la rencontre 20-6 au chapitre des tirs, se butant aux prouesses du gardien Michael Ueltschey, qui avait été l’adjoint de Greg Sutton en 2002 avec l’Impact.

«On a bien fait contre eux à notre dernier match, mais on a manqué de finition, a noté DeSantis. Il faut profiter de nos chances de marquer. On espère que ça va débloquer à Québec et qu’on sera en mesure d’offrir un bon spectacle.»

Après un début de saison où ils ont présenté un dossier de 0-6-2, les Islanders ont remplacé Vitor Hugo Barros par Hugo Maradona au poste d’entraîneur, le 19 mai dernier. Depuis, Porto Rico a une fiche un peu plus étoffée de 5-8-4.

De son côté, l’Impact se présentera à Québec avec une séquence de cinq matchs sans défaite (4-0-1) pour un dossier général de 14-4-5, ce qui lui permet d’occuper le deuxième rang du classement dans l’Association de l’Est, à seulement un point des Kickers de Richmond avec deux matchs de plus à disputer que la formation de la Virginie.

«L’équipe est toujours dans la lutte pour s’assurer une place en séries et pour le premier rang, a souligné DeSantis. Avec seulement cinq matchs à jouer en saison régulière, chaque affrontement a une importance capitale.»

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SOURCE:
bcomm

INFO:
Stéphane Banfi
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